LA LIBÉRATION SEXUELLE À L’HEURE DE METOO par Claude Semal

La journaliste Emmanuelle Dancourt, « présidente » de « MeToo Médias », et victime collatérale du priapisme de PPDA, ironisait

Ce contenu est réservé aux abonné·es. Si vous êtes déjà abonné·e, veuillez vous connecter. Les futurs abonné·es peuvent s'inscrire ci-dessous.

Connexion pour les utilisateurs enregistrés
   
3 Comments

Sorry, the comment form is closed at this time.