LE GIEC, LE NUCLÉAIRE ET LES CHATS par Cédric D Tolley (sur Facebook)

Un vieux désaccord avec Isabelle Stengers, à la sortie de son livre “Au temps des catastrophes“, portait sur le fait de céder à l’utilisation d’un “mythe mobilisateur” dans la mesure où les données du premier rapport du GIEC étaient, à mes yeux, soit inaccessibles soit très sibyllines.
Les rapports suivants furent plus transparents et mieux vulgarisés, permettant de s’en saisir comme d’outils politiques et non plus seulement des actes technocratiques réservés.
Plus tard, quand le GIEC a commencé à sombrer dans la monomanie du carbone jusqu’à prétendre que le nucléaire était une solution aux problèmes environnementaux, j’ai décroché. Franchement, qu’ils aillent se faire foutre ces débiles de pronuc biberonnés à l’idéologie électrique.

Et là, ils reviennent de la COP avec une solution enfin viable : suffit de buter les chats et les chiens. Le problème sur lequel on pourrait agir, puisque pour le reste mieux vaut laisser tomber, c’est la calamité que représentent les chiens et les chats.
Les chats seraient responsables de la perte de biodiversité dans les villes. Pas le béton, pas la spéculation immobilière, pas la gestion calamiteuse de l’urbanisme. Les chats.
Je crois que le GIEC a enfin trouvé sa place dans ce monde : dans les chiottes de la COP.

Cedric D Tolley (sur Facebook)

Pas de commentaires

Poster un commentaire